«Antisémitisme» ?
«Mais peut-on prononcer de bonne fois ce mot, qui semble une ironie à quiconque n’est plus un enfant ?»
Ainsi nous sommes tenus d’être imposés par ce terme objurgué devenu conceptuel et ridiculement absurde pour un être sain d’esprit. Il nous faudra sans doute le rabâcher aux incultes ou aux hypocrites cyniques, soutiens inconditionnels, collaborateurs fangeux et complices médiatiques du génocide raciste juif en cours en Palestine et ailleurs :
Le terme «sémite» n’a rien à voir avec une race. Ce terme ne se spécifie que dans le domaine linguistique et scriptural depuis le cunéiforme sumérien. Ni une religion, ni même une ethnie. Bien sûr, le mot Sem/Sham vient encore une fois de la terrible romance «judaïste/djihadiste» (Ils ont tous le même père présomptif Abraham, celui qui voulait égorger son enfant !), basé sur une loi particulière qui se voudrait exclusive, au-dessus de toutes autres, terrorisante. Fable issue de contes et légendes de milles et une nuits exotiques et sanguinolentes. Gore, pour tout dire aux cinéphiles en besoin de se faire peur sans conséquences.
D’ailleurs, il nous suffit de taper sur notre moteur de recherche préféré du WEB : sémitisme. L’on ne trouvera que 4 ou 5 occurrences ambigües. Mais taper «antisémitisme», vous en aurez des millions.
«On s’en fout, c’est des arabes, des nègres, des niakoués, des sous-hommes et peut-être même, des Gaulois réfractaires. Ha ! rha ! rha !». Propos entendu personnellement, sous rires hystériques dans un bar du quartier du Marais à Paris. Fuir, fuir toutes ces abominations…
Nous sommes, nous hommes et femmes de bonne volonté cultivé(e)s, en tentative d’harmonie avec tous les peuples assoiffés d’indépendance. La Russie, la Chine, l’Inde, l’Afrique quand ses peuples se libèrent enfin de leurs chaînes mentales imposée par des «démocraties» d’un Occident prédateur «judéo-chrétien» (oxymore). Occis, mort.
Antisémite !
Que tous les gens de la Terre l’entendent que nous, le peuple de France, ne sommes pas contre eux. Nous ne sommes pas en guerre ! Nous ne sommes pas responsables de nos «dirigeants» hallucinés. Nous essayons aussi de survivre écrasés par une dette nationale faite à des usuriers depuis 1973 (Giscard d’Estaing, le sinistre des finances après Pompidou de la banque Rothschild).
E. Macron le suivant impétrant, toujours de la même banque, qui a seulement été plébiscité au premier tour de «l’élection» présidentielles de 2017 par environ 20% de voix manipulées par un matraquage médiatique ignoble. La démocratie ? Ce concept fumeux, on ne le cherche même plus. Un peu fatigué d’essayer de trouver sa concrétisation. Macron banquier d’affaires, gérant associé chez Rothschild, ne serait-pas un petit peu juif ?
Antisémite !
«On» nous prend pour des cons ? Oui !!!
Cons(nes) ? Ce mot «Démocratie» polysémique, aussi creux qu’un Q.I. d’huitre, s’adresse à tous ceux qui continuent de voter par civisme, par simple accortise. Mettant à la disposition de leur vie des opportunistes dont ils ne connaissent même pas le mental. Un test psychiatrique pour tous candidats ? On risque d’avoir des surprises…
Désormais, la dédollarisation, fruit de l’arborescence multipolaire des BRICS nous semble bien mûr. Il ne nous en restera à nous européens que des pépins à difficilement digérer. Toujours les mêmes qui trinquons avec un verre désespérément au 3/4 vide.
Complotiste !
Pour la première fois dans notre histoire isochrone française (2025), il y a plus de décès que de naissances. Le «wokisme» aurait-il gagné ? Et la prière d’un invraisemblable Christian Rosenkreutz, des «Gorgia Guidstones» accomplie ? Nous ne faisons que subir blasés, devant des Élites proclamées qui s’illusionnent dans l’opacité d’une démence idéologique, pathologique, sexuelle. À chacun la sienne, mais…
On aime bien «faire l’amour», pas de soucis. Mais cette déviance, celle qui nous ne nous tue pas à petit feu par ses fantasmes de plaisir, ne nous rendra pas plus forts. À chacun son plaisir. Nous voulons vivre notre entiérorité d’hommes et de femmes ! On peut essayer de détourner le regard de la matraque sioniste renardière qui nous menace, elle finit toujours par nous retomber sur la gueule insidieusement, lorsque l’on veut affirmer son identité biologique : Mâle/Femelle. Et s’en protéger sans violence. Une Gay-pride à Tel-Aviv ? Oh oui ! La fête des acculés.
Homophobe !
Un essayiste franco-suisse, Alain Bonnet (dit Soral) ayant traité une grosse lesbienne de… grosse lesbienne, condamné !
Grossophobe !
Croche-pied de l’Histoire. Ah, le siècle des lumières ! Savamment repris par le judaïsme contemporain.
«Nous sommes le peuple de la lumière, eux sont celui des ténèbres». ~ Netanyahou, octobre 2023
C’est qui «eux» ? Ben nous, les Goyim et nos amis palestiniens, tout le reste du monde, quoi (le ROW). Désignés par des juifs illuminés avec du phosphore blanc (interdit) qui tombe d’un ciel étoilé par un David idéalisé, inconnu des archéologues. Armes de lâches qui incinèrent des corps d’êtres vivants courant éperdus cherchant un abri illusoire déglingué par les bombes généreusement fournies par les USA et l’UE. Combien de milliards déjà pour l’Ukraine d’un Zelensky juif ? Quoi encore !?
Antisémite !
Politique théo-raciale insane promue par des flash-infos, spots publicitaires, qui ont de quoi provoquer un certain aveuglement obstiné aux perroquets déplumés un peu bègues qui fantasment de nous éduquer dans des médias sous emprise. (Qui ?)
Antisémite !
Ces oiseaux de passage médiatique, aras, perroquets décolorés sur leur perchoir qui cancanent ahuris et se taisent penauds devant la fulgurance de propos méprisants malveillants, racistes. Terminant souvent leurs JT par : «Voilà, c’était l’essentiel de l’information». Incantations à la haine d’une incroyable fatuité suprémaciste. Jamais condamnée parce que juive. Leur idole ? «Bibi». Comme c’est mignon. Salauds !
Antisémite !
Hélas derrière cet appellatif, ce Premier ministre cinglé israélien, il y a tout une communauté abrutie par une dilection qui soutient des séraphins démoniaques devenus ministres prédicants.
Satan était aussi un ange. Déchu certes, mais par qui ? Yahweh, le Dieu des hébreux si l’on s’en réfère à la Bible. Shaïtan ne voulait-il pas inciter Adam à gouter au fruit de la connaissance et arrêter qu’il se considère comme un être inconsciemment crétin, inculte ? Chassé du Paradis ! Donner enfin un code de communication commun et mettre ensemble des connaissances diffuses soudainement compréhensibles à tous les artisans pour en ériger une tour symbolique ? Babel (Baba-El.) détruite par un Dieu improbable terrorisé à l’idée que l’on pourrait l’atteindre ?
Antisémite !
Et surtout, ce Satan «tentateur», montrant la beauté du monde à mon copain, Jésus, avant qu’il ne parte dans son délire suicidaire contre le Sanhédrin juif. Jésus (I-Esus en celtique), victime consentante, salvatrice, révélatrice pour nous tous, le reste de cette humanité rêvant d’un Eden post mortem. Alors qu’il est à faire, ce paradis, ici sur Terre, de notre vivant.
Mécréant !
Les satanistes juifs ou francs-maçons voulant tout corrompre, tout inverser, même l’évidence… La tête à l’envers, on a le tournis.
Antisémite ? non. Anti rien, plutôt pro (…). Païen, agnostique, oui peut-être, et alors. Celui ou celle qui n’a pas besoin d’une loi transcendantale, d’un Dieu inventé pour construire sa vie, sa morale, son éthique, d’élever ses enfants sur une route que l’on voudrait droite tout en laissant l’opportunité des chemins de traverse. Religion reléguée. Chacun vit la sienne, de vie spirituelle dans son intimité. Respect. Mais, liberté d’oppression ou d’expression ?
Complotiste ! Anarchiste !
L’Islam est-il compatible avec la république ? S’interrogent les crétins médiatisés. Allez demander ça à la République islamique d’Iran justement. Après avoir massacré des Arabes sémitiques avec des proxys, désormais déshumanisés depuis si longtemps au nom du Talmud, on s’attaque à Téhéran. Avec un tapis de bombes péripatéticiennes GBH-57 judéo/US (planantes comme un bon joint ?), cramant un kilim persan, après le keffieh palestinien ?
Antisémite !
Alors, aux images de cadavres d’enfants déchiquetés ou faméliques qui matérialisent l’expression : la peau sur les os, à l’analyse de faits plus têtus qu’un âne démocrate US, nous pouvons l’affirmer sans honte, sans peurs et sans reproches :
Les juifs sionistes actuels, israélistes, sont les plus grands antisémites que la Terre ait portés.
Quel déchirant renversement de perspective inaudible pour tous les roquets qui aboient sur les plateaux TV ou dans la presse subventionnée manipulée par un AIPAC ou un CRIF.Israël a le droit de se défendre nom d’un Dieu, et celui de devoir de tuer des civils ? Pardon, des humains sans uniforme et désarmés ?
Antisémite !
Pourtant, il n’y a pas d’armée palestinienne pour s’opposer aux chars Merkava ou aux avions F16. Il n’y a que des êtres résistants à l’oppression, avec une constance incroyable et respectable. Nous en prenons de la graine qui va germer dans nos cœurs bienveillants.
«Notre soutien (à la boucherie israélienne) est inconditionnel». (Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale «française»).
On peut toujours rêver d’une Palestine unifiée avec à chacun les mêmes devoirs et les mêmes droits ? C’est impossible. Pour deux raisons essentielles, existentielle :
La première est que le sang des Palestiniens «de souche» qui ruisselle entre les décombres de maisons bombardées par «l’État juif» ne séchera jamais dans la mémoire des rescapés.
La deuxième est le fait que les juifs, à de très rares exceptions près ne se marient qu’entre eux. Le mariage inter-confessionnel est illégal en Israël. Comme pour les femmes en Islam, d’ailleurs soit dit en passant. Pour un affamé de justice absente qui voit agoniser ses parents ou ses enfants, la vengeance et le dédommagement se mangeront froids ou chauds bouillants.
«Israël vaincra !».
Mais sur la défaite de qui, de quoi ? De nous tous antisionistes humanistes ?
Antisémite !
Bien sûr, il ne faut pas mettre tous les juifs dans le mème sac à malices. Il en reste heureusement quelques milliers «réformistes» à sauver l’honneur de leur judaïté. Un journal israélien comme Haaretz tente désespérément de sauver les meubles dans l’incendie criminel avec des titres comme : «Les Israéliens qualifient les survivants de l’holocauste d’antisémites». Car effectivement, il ne suffit pas d’être Goy, l’autre, pour tomber dans la vindicte prohibante. Un juif omniscient antisioniste aussi, peut être ostracisé, déshumanisé.
Ainsi, le blogueur Richard Silverstein (juif israélien) l’a admis :
«Bien que ça me fait mal de l’avouer, les juifs de la diaspora, à certains égards, sont tout autant à blâmer que les israéliens. Ils ne se sont pas éloignés de la soif de sang d’Israël. S’ils n’en sont pas les pom-pom girls, ils se contentent de rester sur le banc de touche regardant en silence le spectacle de corps de Palestiniens qui s’entassent comme des buches. Les juifs de la diaspora, en particulier les sionistes libéraux qui devraient être les plus concernés restent sans voix. Ils ne savent pas quoi faire ou dire. Leur silence ne donne aux tueurs qu’un peu plus de corde pour se pendre eux-mêmes avec le sang des Palestiniens sur leurs cous». (Tikun Olam)
Antisémite ?
Est-il encore autorisé d’exprimer son dégoût du racisme juif ou autre sans risquer de devoir passer devant un tribunal et condamné par avance par des juges souvent femelles judaïsées, pour incitation à la haine ? La preuve à l’accusation dévoyée !
Il n’y a pas de haine en nous ! Juste un triste constat.
La haine juive est en premier lieu envers les «Arabes» puis les Perses, l’Iran. Toutes ces civilisations millénaires, comme celles de l’Europe ou d’Afrique (Wassoulou), d’Asie (Han), à suivre… Cela risque de devenir une autre Histoire historiquement désastreuse, une fois de plus. L’hubris juive actuelle ou passée vit-elle toujours intériorisée dans l’horreur, l’erreur psychotique et suicidaire du «syndrome de Massada», l’Armageddon ? Il serait peut-être temps de nous poser la question.
Antisémite !
«On n’a rien fait ! On nous en veut uniquement parce que nous sommes juifs ! Nous ne sommes que des victimes».
Vraiment ? C’est quoi cette pleurniche qui masque sans pudeur un orgueil démesuré ? N’y aurait-il pas une petite remise en cause salvatrice à se faire pour le salut des âmes ? L’esprit colonial européen est mort sauf pour les sionistes et les nostalgiques d’un empire moribond en soins intensifs.
Toujours se méfier d’une bête qui se meure.
Car tous les peuples de la Terre se sentent concernés, menacés ou méprisés par des banksters sans foi ni loi, heu… loi Mosaïque ? Aucun individu n’est au-dessus d’un autre, sauf différencié par son talent ou son altruisme estimable. À moins d’utiliser la force brutale, animale. Ce qui nous replonge dans les viscères à la Bête immonde sioniste, justement. À ce livre : la Bible, le Tanakh. Peut-on abroger la constitution de notre propre culture universaliste, de ce que nous sommes vraiment, humains, contre la bestialité américano-israelienne ? Afrique, Europe, Japon, Vietnam, Irak, Syrie, Libye, Liban, Donbass, etc, etc.
Antisémite !
Faire table rase du passé palestinien avec contradictoirement un devoir de mémoire ? Et repartir à zéro sur les ruines de villages fantomatiques sur lesquelles ont été construites des colonies juives illégales au regard du droit international, cauchemardant la nuit de juifs Israéliens un petit peu amnésiques. Alors, on dance sur le cadavre des ancêtres ? Ce que nous deviendrons nous-mêmes pour les générations futures. On se voudrait fiers et déterminés lucide face à toutes ces impositions de nous soumettre à un Dieu hébraïque, à un prophète, à un État outrecuidant.
«Les USA sont à notre botte, j’ai cassé les accords d’Oslo, on s’en fout de la vie des Palestiniens et du Droit international». ~ Netanyahou, vidéo furtive censurée par YouTube. 2013
Pourtant chaque souffle de vent sur ce pauvre territoire sanctifié, chaque bruit et effluves venant du sol rapiné de Palestine est l’emprunte sensitive, invisible et présente de vies passées. De naissances, d’enterrements, de rires et de pleurs, de rapports amoureux que le sioniste occiseur voudrait effacer définitivement de ses fantômes subséquents tout en revendiquant un Devoir de mémoire. Oui, les camps de concentration nazi furent une horreur. Mais pourquoi Inciter les autres pays à l’ouverture de leurs frontières tout en construisant des murs de séparation chez le sien. Comme tout stress post-traumatiques (TSTP) les massacre hantent. Comme le spectre qui plane au-dessus des USA annihilateur de peuples autochtones, Les USA, leur premier allié (40 millions de «Réformés» sionistes).
Antisémite ?
«Ce que nos ancêtres ont dû subir, n’est pas sans rappeler ce à quoi nous sommes confrontés aujourd’hui, à savoir un effacement continu et constant de notre présence» (Joe Baker, descendant de son aïeul, le chef White Eyes, qui négocia le traité de Fort Pitt en 1778. Premier enculage de mouches des USA naissants.). Nourris de cette histoire et de tant d’autres, c’est justement ce que nous et les Palestiniens refusons.
Alors, peut-on en vouloir à tous ces juifs sionistes d’Israël ou de la diaspora ? Non. Certains juifs (une majorité ?) ne font que se pencher mécaniquement sur le même berceau sanglant qui a vu naitre les USA, leur plus grand soutien au détriment des «Amérindiens» parqués dans des réserves. Ces civilisateurs, une Bible dans la main et un flingue dans l’autre.
Antisémite ?
Il nous faut bien le constater philosophiquement, cela est aussi propre à la bête inhérente qui sommeille en chacun de nous, juifs ou non. Ce monstre prompt à jaillir de nous comme un fauve de sa jungle intérieure. Celle-ci, présentée comme «la bête de l’événement» (Macron), est en liberté éperdue au Moyen-Orient et en chaque recoin du Monde dit «libre». Libre de quoi ? De se soumettre ? Dans le supermarché des horreurs, l’entrée est gratuite. La sortie, payante.
Libérée d’elle-même, sans collier moral, «délaissée», la bête immonde sioniste rode à la recherche fantasmée de victimes expiatoires quelles que fussent-elles. La Terre ayant été promise par un Dieu colérique et jaloux, choisi ou inventé pour inciter à la haine des autres ? C’est ça l’histoire révélée à Moïse (Moshe) ? Le veau d’or est toujours pérenne. Goldenstein, Goldenberg, Golda Meir…
Antisémite !
Les rentiers US, actionnaires de fonds de pension vautours du complexe militaro-industriel se frottent les mains. La guerre ? C’est cool, ça rapporte tant qu’il n’y a pas d’effets boomerangs, de blow-back. Pieuse théurgie ! Les USA infantiles sont le seul pays au monde à n’avoir jamais été envahi. Ce peuple insouciant, judaïsé à mort, se masturbant sur le massacre de Sioux et autres Apaches, «indiens des plaines»… Les premiers Palestiniens lessivés plus blanc que blanc. Quant aux Africains esclavagisés…
Complotiste !
Du sang, du sang coagulé sous la semelle des rangers ! Les vampires capitalistes sont impatients de leur retour rapide sur investissement. Mais surtout que toute cette hémoglobine ne vienne pas tacher leurs fringues griffées par les loups de Wall Street ou de «the City» of London.
Le Talmud ou la Torah sont au-dessus de toutes ces lois humanisantes qui voudraient nous sortir de la bestialité. Inépuisablement forgées dans le brasier d’un Vulcain cynique et ricanant au nom d’un Dieu immanent, unique, juif ! Yahweh pour le renommer. Une sorte d’Holocauste casher programmé à l‘insu de tous les otages de banksters cosmopolites. Le «syndrome de Stockholm» étant passé par là. Se prosterner devant ce qui nous tue.
Attraction/répulsion comme dans toutes relations amoureuses, comme les planètes qui gravitent autour de leur astre, selon les lois théorisées de la physique quantique. On continue d’élire nos maîtres. Vive la démocratie verticale, cette pyramide dont la base serait le peuple, le sommet l’État et la hauteur un Dieu. Tout ce qui nous écrase sous le poids de faux bons sentiments. On étouffe !
Complotiste !
Absurdités de crédules que nous sommes, terrorisés par son destin final. Notre sort, notre mort à tous, inéluctable. L’islam et l’hindouisme ne sont pas en reste avec le judaïsme. Quant à Jésus, sans en faire un Dieu, il restera notre ami respectable et respecté. La foi, la croyance ? Comme celle du Père Noël de notre petite enfance, jusqu’à ce que l’on s’aperçoive du mensonge merveilleux. Naïfs à la recherche d’un absolu débonnaire, arnaqués jusqu’à la moelle épinière. Rêver comme un béotien. Quelle liberté de se laisser faire manipuler par des gens placés là par coercition, par magouilles ! La jolie berceuse démocratique qui nous endort, qui nous ment.
Que l’on laisse aux rêveurs impénitents que nous sommes le loisir d’aspirer goulument cet air salvateur. Ce sentiment de se sentir libre avec des contraintes acceptables. Dernier fantasme des sociétés post-modernes, bientôt taxé. Payer le racketteur, l’«État», pour simplement avoir le droit de vivre ou de survivre ? Non mais. Mèmes considérés comme des sujets, nous ne serons jamais des objets sur un graphique de statistique, une forme d’ajustement fonctionnel, structurel. Une variable d’ajustement. Et trop peu souvent, nous le gueulons quand même très fort : Liberté, Liberté chérie !
Les serfs au Moyen Âge devaient donner trois mois de leur sueur par an à leur suzerain. Aujourd’hui dans notre belle économie moderne, c’est six mois au minimum. Vive le progrès social, la modernité.
Complotiste !
Non, nous ne sommes pas en guerre ! Nous sommes dans une revendication de paix envers nous-même et les «autres», cet enfer, comme disait mon ancien directeur de publication (J.P. Sartre), et d’un existentialisme bien venu. Mais, de la pensée aux actes… C’est là où se découvrent toutes les supercheries tendancieuses qui nous font avaler des couleuvres métamorphosées en aspics venimeux. Ça pique et ça fait du mal !
Alors, dans toute l’Asie occidentale, les soudards juifs revendiqués comme tels, continuent leur prédation sans jamais être pourchassés, ni encagés. Au contraire, on en fait la promotion. Jusqu’à quand ? Ce peuple juif inventé comme le dit si bien Shlomo Sand, jouit de ces pires délires morbides… Élus ? Par qui, par quoi ? Nous n’avons pas voté pour une exemplarité racialiste, suprémaciste. Nous attendons autre chose de cet humanisme qui nous colle au cul des basses fosses philosophiques depuis Héraclite, Platon, Jésus ou JJ. Rousseau.
Antisémite !
La Bible hébraïque comme cadastre ou comme une thèse «historique» soutenue par des fous cinglés dangereux pour le reste du monde. À genoux devant un Dieu putatif, à plat ventre en direction de la Makka, ou se tapant la tête contre le mur de ses lamentations. Il n’y a pas d’amour dans la soumission, à moins d’être masochiste.
Infidèle !
Il y a toujours eu des fous cinglés dans le christianisme, dans l’islam et des amoks sans foi ni loi, dans toutes les religions voulant voir couler le sang dans une vision d’aliénation eschatologique. Folie à l’esthétisme douteux. Dans le judaïsme c’est une constante, laissant faire aux Goyim le soin de s’entretuer. Mais, un cap a été franchi en Palestine. Des juifs se chargent eux-mêmes du sale boulot. Le racisme à l’état pur qui se matérialise à Gaza ou dans le Donbass en Ukraine. Le «judéo-nazisme» (dixit Yeshayahou Leibowitz), n’a pas fini de nous poser questions. Heureusement pour eux, il n’y a pas de haine en nous. Juste une forme de dégout, le cœur au bord des lèvres.
Alors, anti quoi, déjà ?
Sémite !
Ces langues sémitiques concernent l’Afrique du Nord, la Corne de l’Afrique, le Moyen-Orient, Malte, le Sahara et le Soudan, l’Arabie. Tous des Sémites, bombardés, massacrés par des convertis au judaïsme ! Comme c’est bizarre… Ben non, ces mystiques obéissent au Dieu qu’ils ont inventé pour eux-mêmes, à leur seul profit, bien que souvent châtiés par le même. Tous les autres «nous», ne sommes que des «animaux humains» (Yoav Gallant, ministre de la «Défense» israélienne). Nous tous quoi, chrétiens, musulmans, taôistes, paganistes ou agnostiques, athées. «Gilgameh» et son épopée rigole, après lui le déluge.
Quand une croyance devient certitude, faut penser à se trouver un abri survivaliste… Introuvable dans les mégalopoles plus ou moins domestiquées.
Le Proche-Orient, si proche, est majoritairement helléno-sémitique particulièrement parlant. Et non juif (Judéen). Alors que les Palestiniens en génotype le sont, Sémites. Même s’ils ont des ascendances grecques, phéniciennes, voire philistines. Comme les Libanais ou les Syriens et tout le pourtour méditerranéen. D’Alexandrie, de Carthage (Tunis), Tyr, du Pirée jusqu’au premier port gaulois international de la cité phocéenne, Marseille.
Or, que constatons-nous de nous-mêmes un peu désemparés ? Que les premières victimes annihilées dans un silence de plomb durci médiatiques, massacrées par des «Usraéliens» charognards, que tous ces cadavres qui s’amoncellent par millions, sont des sémites purs et durs. Des peuples «de la mer», et accessoirement de la péninsule arabique, musulmans et parfois chrétiens.
Que le voleur ou l’assassin soit juif ou non, cela ne change rien à l’histoire de corps agonisants sur le sol de Gaza, du vol de la Terre, de destruction de maisons familiales, de mosquées, d’églises rasées ou d’oliviers centenaires, arrachés, déracinés. C’est cela le message implicite venu de gens qui considèrent le monde comme un hôtel (Jacques Attali). Avec comme capitale Jérusalem.
Antisémite ! Complotiste !
«La démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres» (Winston Churchill) qui déclarait également : «Je suis fortement favorable à l’utilisation de gaz empoisonné contre des tribus non civilisées». Le grand homme !
Nous détestons les assassinats de femmes et d’enfants. Israël, ce pays 404 que nous soutenons à bout de bras (sans nous demander notre avis), est une exécration au respect de notre humanitude. Benjamin Netanyahou, le fusible désigné n’empêchera pas de faire sauter les compteurs de crimes de masse. On se pose encore la question ?
Antisémite !
Ce pays, Israël, paranoïaque restera foncièrement raciste, impitoyable, tant que le peuple qui le compose ne se sera pas révolté contre cet état d’esprit. Ce porte-avions ensablé de l’Empire du mensonge oléagineux lorgne sur les ressources du coin. Avec un Dieu qui l’aurait promise, cette terre, à une toute petite minorité arrogante. Pauvre Terre-Sainte (ceinte). Eretz Israel ! Am Ysrael chai ! On peut toujours prêcher sur les rives d’une mer morte.
Depuis les années 1980 à l’avènement de aka Netanyahou, premier et dernier des ministres israéliens, fils de BenSion, ça ne s’invente pas (de son vrai nom Mileikowsky. Pourquoi se cacher derrière un pseudo ?), le psychopathe «juif polonais» dénoncé par la CPI et la CIJ, et l’ensemble de l’Humanité, reste toujours reçu en grandes pompes putassières par des démocraties soumises à la dette d’usuriers juifs ou non.
Antisémite !
Le juif en tant que tel dans ce propos n’est pas la cible unique de notre vindicte. Les crapules racistes assassins et voleur en bande organisée, sont nombreuses. L’idéologie juive n’est malheureusement pas la seule à salir un rêve de Liberté, d’Égalité et de Fraternité. Ces valeurs qui fondent la République.
Antisémite ?
«Les Palestiniens sont absolument innocents, ils paient les crimes et les fautes des Européens et des Occidentaux. Ils sont crucifiés pour les péchés, dont nous ne sommes pas exempts…» (Emmanuel LEVYNE). Antisémitisme ? Ben non, c’est un juif antisioniste qui le dit.
Les Africains, les Chinois, les Asiatiques en général, les Slaves et les Européens en particulier, à leur tour, sont dans le collimateur. Alors, tous «antisémites» ? C’est la question que tout être perspicace devrait se poser. D’où, dans le monde, tous ces conflits permanents à la con. Mais une engeance veut la guerre universelle et en retirer les marrons du feu nucléaire. Laquelle ? Une «sûre d’elle-même et dominatrice»? (Charles de Gaulle).
Un «antisémite» n’est pas quelqu’un qui déteste les juifs, c’est quelqu’un que les juifs sionistes haïssent.
Abraham le référent serait heureusement aujourd’hui en tôle ou dans un hôpital psychiatrique ! Alors il nous faut comprendre pourquoi des enfants palestiniens subissent cet holocauste casher. Il y a au moins une douzaine de Dieux «uniques» dans l’histoire humaine. Tous «adorables». Quant aux prophètes de mauvais augures… Laissons cela aux mystiques terrorisés de leur destin inéluctable. Leur propre destinée eschatologique.
Peut-on dans un laps de temps indéfini, faire une sorte de brake, se poser la tête sur nos croyances ou certitudes ? Cela pourrait, peut-être, au bout du compte, de ne plus attendre l’homme ou la femme providentiels dans nos démocraties dévoyées. En se prenant en main, la main dans la main, en toute bonne foi.
Utopiste !
Conséquence ? La démocratie verticale : aller voter pour élire son contempteur, son placoteur pète-cul, son maître de plantation. Pourquoi le «code Noir» a-t-il interdit au XVIIe siècle aux juifs de profiter financièrement de l’esclavage ? Pourquoi revenir toujours aux juifs et à leur Dieu transcendantal ? Ce serait une obsession ? Non. Un constat.
Antisémite !
Des croyants authentiques, sont manipulés par des prêtres, des imams, des rabbins ou des gurus… Et les massacres continuent de plus bel sous la bienveillance du Dieu substantifique que chacun(e) se serait choisi.
Mécréant, apostat, agnostique ? Oui, non, peut-être. Antisémite ? Surement pas. Anti rien en fait, plutôt pro. Mais comme dit plus haut, sémite n’est pas une religion ni une race.
Il est si facile, avec un peu de lucidité et de détachement tranquille de faire sauter tous les cadenas qu’on nous a mis dans le cerveau depuis notre enfance. Sans haine et sans violence sur soi-même. Et surtout pas sur les «autres», nos potentiels futurs copains ou copines à embrasser.
Incitation à l’amour, pas à la haine !
Qu’on le dise à tous les tueurs officialisés de la Liberté d’expression, ces contempteurs du simple bon sens : Juges, flics, animateurs TV, «journalistes». Vous êtes ciblés, comme nous tous, au regard du temps, de la profondeur de votre foi mauvaise.
On peut toujours condamner à juste titre «l’incitation» à la haine, à la violence, à la discrimination, même si cette incitation ne retrouve pas ses conséquences dans les faits, et continuer hypocritement à fermer les yeux ou détourner le regard sur cette haine tenace, réelle, qui exsude de «l’armée la plus morale du monde». Sans doute pouvons-nous éprouver une certaine détestation judéo-critique mais pas que. Lire le Talmud ou la bible hébraïque se suffit amplement à lui-même.
Antisémite !
Le Hamas, terroriste ou résistant ? Que l’on pardonne ici un ajout personnel. Mes parents étaient aussi considérés comme des terroristes pendant l’occupation de la France par l’Allemagne nazie. Leur tête mise à prix. Puis, ils ont été décorés à la Libération. Eux aussi avaient commis des attentats au nom de la Résistance française (FFI). Alors…
Soit les juifs sincères condamnent avec la plus grande fermeté les massacres de Sémites, soit ils revendiquent leur antisémitisme flagrant. Ils ont le choix. Quant à la suite, l’histoire jugera. Cette saga abjecte va-t-elle encore se répéter encore et encore ? Nous n’en pouvons plus, quand les petits enfants de victimes légitimes se retrouvent être des assassins monstrueux. Vengeance aveuglement synoptique ?
À sa naissance, le sionisme était un beau projet «utopique» (Mikvé), jusqu’à la Nakba, l’exode palestinien et le massacre de femmes et d’enfants. Le sionisme est devenu sous-jacent de la grande honte de l’humanité contemporaine.
Antisémite !
Nous pourrions nous rappeler la «Controverse de Valladolid» en 1550, quand des théologiens «chrétiens» se demandaient si les non-européens avaient une âme. Et aussi en passant, de nos jours, pourquoi les évêques portent une kippa. Jésus, le chantre de l’amour a été condamné pourquoi et par qui déjà ?
Antisémite !
Quand le dictateur féminin (l’UE a réussi à nous imposer ça !) La non-élue von der Leyen (L’impératrice, comme on l’appelle), fait l’apologie d’Israël et de sa Torah comme consubstantielle à l’Europe, encensant le «créateur» de cette entité racialiste génocidaire d’Israël, Ben Gourion, nous allons lui rappeler quelques-unes de ses saintes paroles. On ne savait pas ? Tout était écrit, programmé depuis la résolution 181 du 29 novembre 1947 à l’ONU :
David Ben Gourion : Octobre 1936 :«Nous ne suggérons pas d’annoncer maintenant notre but final qui va très loin ? plus loin encore que les révisionnistes qui s’opposent à la partition. Je ne veux pas abandonner la grande vision, la vision finale qui est une composante organique, spirituelle et idéologique de mes (…) aspirations sionistes». («mémoires», volume trois, page 467).
«Les frontières des aspirations sionistes sont l’affaire du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les limiter». (Ouvrage cité ci-dessus, discours en 1937)
Ben Gourion, lettre à son fils (1936) : «Un État juif partiel n’est pas une fin, mais seulement un commencement. Je suis convaincu que l’on ne peut nous empêcher de nous établir dans les autres parties du pays et de la région».
Ben Gourion, 1938 : «Les frontières des aspirations sionistes, incluent le Liban-Sud, le sud de la Syrie, la Jordanie d’aujourd’hui, toute la Cisjordanie, et le Sinaï». (Rapport au Conseil mondial de Poalei Zion (futur parti travailliste) à Tel-Aviv).
Ben Gourion, discours de 1938 : «Après être devenus une force importante grâce à la création de l’État, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine. L’État ne sera qu’une étape dans la réalisation du sionisme et sa tâche est de préparer le terrain à l’expansion. L’État devra préserver l’ordre non par le prêche mais par les mitrailleuses».
De la sémantique à la dialectique, un pas a été franchi au surplomb de l’abime virtuel de notre pauvre petite conscience humanitaire. Alors, qui est l’Antisémite dans la disputation des valeurs inversées de la «république» ?